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Note moyenne : 13/20

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Graz'zt - 13/20
Le tout premier album du groupe, qui est en fait simplement une commercialisation de leur démo. Deux titres assez longs et uniquement instrumentaux, et un troisième qui deviendra un grand classique, puisqu'il figurera dans plusieurs de leurs "vrais" albums. A noter que cet album-démo, introuvable aujourd'hui, figure dans l'album "True Kings of Norway", sorti chez Spikefarm Records, et qui regroupe les toutes premières démos de plusieurs autres groupes de Black Norvégiens :  Emperor "As The Shadows Rise" ( 1994), Immortal "Immortal" (1992), Ancient "Det Glemte Riket" (1994) et  Arcturus "My Angel" (1991).

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Note moyenne : 14/20

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Graz'zt - 14/20
Voilà en fait le vrai premier album de Dimmu Borgir. Des ambiances déjà très musicales, contrairement à ce que peuvent penser les personnes les accusant d'être devenus "commerciaux" au fil du temps. A noter que cet album est uniquement chanté en Norvégien. On sent déjà le style naissant de Dimmu Borgir, avec des mélodies mémorisables, des passages très agressifs se mêlant avec d'autres plus doux, des pianos, ...

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Note moyenne : 17/20

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Graz'zt - 17/20
Attention, chef-d'oeuvre ! Là aussi entièrement chanté en Norvégien, cet album est une vraie perle d'éclectisme, avec à la fois un son et une production encore bien underground, mais parfois des mélodies très douces (l'un des titres est simplement un morceau de piano) alliées à des guitares bien saturées et une voix gutturale extraordinaire. Au final, une ambiance parfaite qui se dégage de l'ensemble, et l'un des albums les plus caractéristiques de ce que le Black Metal se doit d'être.

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Note moyenne : 15/20

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Graz'zt - 15/20
Un mini-album sorti à peu près en même temps que le précédent, mais sur un label encore plus petit, et qui regroupe deux nouveaux morceaux (dont l'un d'eux, Master of Disharmony, sera repris sur l'album suivant) et une reprise de Celtic Frost. Beau joueur, le groupe a également inclus la version originale de Celtic Frost. Ce mini-album, très difficile à trouver aujourd'hui, sera réédité dans un Split-CD avec Old Man's Child.

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Note moyenne : 14/20

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Graz'zt - 14/20
Suite à la signature du groupe chez Nuclear Blast, le label a eu la bonne idée de rééditer le premier album de Dimmu Borgir, et d'y inclure en bonus-track les deux titres instrumentaux de leur première démo. Au passage, la pochette y  gagne des couleurs ! A noter que le son n'est pas remasterisé, il reste le même que sur l'album original, donc assez brut et peu produit.

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Note moyenne : 19/20

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Graz'zt - 19/20
L'album de la controverse ! Sorti à peu près à la même époque que le "Cruelty And The Beast" de Cradle Of Filth, cet album a connu un succès équivalent (c'est-à-dire énorme), ce qui a eu pour effet d'amalgamer les deux groupes et de les classer dans la catégorie du "Black commercial". Laissons les intégristes se quereller, cet album est un vrai bijou, alliant mélodie et agressivité, et il suffit de lire les paroles de "Tormentor of christian souls" (non imprimées dans le livret car trop violentes, mais disponibles sur le site officiel du groupe) pour se rendre compte que Dimmu Borgir ne cherche vraiment pas à faire du politically correct pour se faire accepter !

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Note moyenne : 16/20

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Graz'zt - 16/20
Suite au succès monstrueux de l'album précédent, ce mini-CD sort dans la foulée (il faut bien battre le fer quand il est encore chaud !). Au programme, deux nouvelles chansons ("Moonchild domain" et "Chaos without prophecy"), une reprise d'Accept ("Metal heart"), deux ré-enregistrements de vieilles chansons de "For All Tid", et deux live. Un bon package représentatif de ce que sait faire le groupe à l'époque.

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Note moyenne : 15/20

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Graz'zt - 15/20
Difficile de succéder à un album aussi réussi que Enthrone Darkness Triumphant, mais c'est pourtant presque chose faite avec celui-ci. Un peu plus déroutant peut-être par l'ajout de voix claires (un choix discutable) et de structures musicales moins évidentes, cet album atteint pourtant bien son but. On retrouve le style caractéristique de Dimmu Borgir, fait d'un mélange d'agressivité et de musicalité, qui en fait l'un des groupes les plus réputés du Black Metal actuellement.

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Note moyenne : 17/20

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Graz'zt - 17/20
Voilà un des albums les plus attendus du début de l'année 2001, et là on peut dire chapeau ! De même que Cradle Of Filth avec "Midian", Dimmu Borgir a su se renouveler en gardant ses bases, et nous livre là un des meilleurs albums de Black, tous styles et toutes époques confondues ! "Tous styles", justement, car le groupe mélange allègrement les différentes tendances du Black Metal, en allant du plus brutal au plus expérimental, et il faut bien dire que le style impressionnant de batterie de Nicholas n'y est pas pour rien... Attention toutefois, le "brutal" reste tout de même du Dimmu, c'est-à-dire assez mélodique et travaillé, ça n'est pas du Marduk non plus ! Le seul reproche que l'on pourrait faire à cet album est justement son hétérogénéité, car on a un peu de mal à saisir tout l'album aux premières écoutes, mais est-ce réellement un mal ?

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Note moyenne : ???

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Pierre
Dimmu Borgir a du mal à retranscrire sur scène les finesses de ces albums et bien souvent la production ne suit pas. On se souvient des quelques titres live achevant le mini album " Godless Savage Garden ", qui loin d'être mauvais, n'en étaient pas pour autant mémorables. Mais ici, l'affaire prend une toute autre ampleur. Le son est précis, les morceaux parfaitement retranscrits. Certes, les grands moments du dernier album sont absents mais ce mini live nous permet de redécouvrir d'anciens morceaux qui vieillissent bien. Cinq titres de bonheur qui confirment définitivement Nick Barker comme l'un des batteurs de black les plus impressionnants. Collector enfin car ce cinq titres est limité à 10000 exemplaires soit une broutille pour un groupe comme Dimmu Borgir et que le CD lui-même est une superbe pièce : une tête de mort bionique découpée. Un collector où le contenu est à l'égal du contenant : superbe.

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Note moyenne : 16/20

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Hirenlas - 16/20
Peut être avec Enthrone Darkness Triumphant l'un de leur album le plus marquant. Il est clair que les puristes y verront du réchauffé de certains anciens morceaux, mais l'orchestration de certains morceaux (Eradication Instinct Defined ) reste magistrale et construite avec le soucis du détail. Les riffs sont ravageurs, la rythmique est "diabolique" mais certains morceaux sont un peu trop "audibles" (axés vers un plus large public ??) ce qui de temps a autre nous fait tendre l'oreille avec un sourcil froncé (Tiens c'est pas habituel ça...). Quoi qu'il en soit il n'en reste pas moins que la voix de Vortex sur certains morceaux nous fait penser au temps de Burn in Hell ou autres morceaux ou ce bassiste nous fait partager le frisson que peut procurer son organe... Somme toute un bon album...